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    Aujourd'hui 11 novembre, partout en France est commémoré l'Armistice de la Première Guerre mondiale, qui de 1914 à 1918 aura tué environ 10 millions de civils et de militaires et en aura blessé environ 20 millions.

    Grâce aux images d'archive, nous pouvons avoir, 100 ans plus tard, une idée, une bien mince idée certainement, de ce qu'aura été ce conflit majeur, de l'horreur qu'il a engendrée chez les soldats, mais aussi chez leurs familles obligées de s'adapter au manque des hommes et à l'angoisse permanente.

     

    Cette guerre devait être la der des ders. On sait ce qu'il en est advenu.

     

    Alors aujourd'hui, encore plus que d'autres jours, mes pensées vont à tous ceux qui ont sacrifié leur jeunesse, leur vie, pour que nous restions libres.
    Ô, je ne suis pas candide, s'ils avaient pu ne pas la faire, la guerre, bon nombre de ces valeureux soldats seraient restés avec leur famille, à travailler la terre, à instruire les écoliers de leur classe, à être un employé d'industrie, de commerce.

    Mais la loi fait que l'on est solidaire de sa Patrie et que ceux qui sont en âge de la défendre se doivent d'aller le faire.

    C'est ce qu'ils ont fait, avec un courage inouï, avec un sens du devoir dont on peut se demander s'il existerait encore de nos jours, s'il fallait recommencer...

    Je formule des vœux pour que jamais ce ne soit le cas, et j'aimerais tellement que ce soit le cas partout sur notre planète.
    Les images d'il y a 100 ans se répètent aujourd'hui ; c'est juste « ailleurs », aussi dur voire pire, et le résultat est le même.
    Des hommes, des femmes, des enfants, souffrent, pour des conneries qui pourraient se régler autrement qu'en faisant tuer et souffrir des milliers ou des millions de gens.

    Je l'ai déjà écrit et je le pense vraiment : l'espèce humaine n'a pas sa place sur Terre, car pour une belle chose qu'il fait, l'Homme en réalise des dizaines de moches ou de terribles.


    Il y a 100 ans, des millions de Français et d'Alliés ont espéré dans l'avenir.
    Aujourd'hui, pensons à eux, et tentons de l'améliorer autant que l'on peut, nous leur devons bien ça.

     

     

     

     

              1.  paysage de paix en Suisse

    100 ans de notre Histoire

     

              2.  paysage de paix en Italie

    100 ans de notre Histoire

     

              3.  paysage de paix en France

    100 ans de notre Histoire

     

     

     


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    Après le passage du col, à 1 691 mètres d'altitude pour le col routier et 1 712 m pour le col géographique, on trouve un lac autour duquel les touristes se promènent en été, et sur lequel en hiver passent une des pistes de ski de fond.

    En vérité, on ne skie pas sur l'eau (gelée) du lac mais sur le lac vidé, par précaution.
    De la neige est accumulée et tassée dans l'aire du lac puis la piste est tracée. Le reste du domaine skiable s'étend jusqu'à la Bourgeoise, un des sommets qui dominent Samoëns et la haute vallée du Giffre.
    Avec ses 1 770 m, la Bourgeoise est une destination de balade très prisée en toute saison.


    Un peu plus loin, on passe du côté de Morzine et des Gets, 2 villes raccordées au domaine skiable des Portes du Soleil.

    Hors saison d'hiver, nous allons souvent en promenade dans le secteur de Lairon (sur les communes de Morzine et de Verchaix), situé en contrebas de la route qui amorce sa longue descente vers Morzine, après le passage au pied du Ranfolly.

    C'est une succession de vallonnements parcourus de sentes qui serpentent entre les arbres et de quelques chemins plus larges sur lesquels les vététistes déboulent ou appuient fort sur les pédales, selon la pente.

    L'hiver, le même secteur est propice aux balades en raquettes, tous les reliefs sont adoucis et le paysage est totalement différent.
    Des pistes de ski de fond remplacent les chemins et les sentiers de randonnée, avec, en toile de fond, la partie ski alpin comprise entre le haut des remontées mécaniques des Gets (les Perrières, la Turche, la Rosta) et celles de Morzine (Chamossière, les Têtes, la Pointe de Nyon).

    Il y a des vues magnifiques sur le massif du Mont-Blanc comme vers le Roc d'enfer ou le Marcelly, des sommets plus proches et plus accessibles pour nous !

     

     

     

     

              1.  vue vers les Rochers des Fiz (Pointe de Sales, Tête à l'Âne) et le massif du Mont-Blanc

    Vers Joux Plane (#2)

     

              2.  secteur de Lairon, un petit chalet bien abrité qui appartient à des Suisses ; sur la gauche, la végétation brune
              est celle d'une zone humide.
              La vue plongeante mène vers Les Gets.

    Vers Joux Plane (#2)

     

                                             3.  fin de saison...

    Vers Joux Plane (#2)

     

              4.  remise, grange à foin en altitude, ce bâtiment a eu son utilité... il y a des années

    Vers Joux Plane (#2)

     

              5.  en fin de balade, nous approchons de la route et des moutons qui ont colonisé le ciel

    Vers Joux Plane (#2)

     

     

     


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    Le titre de cet article vient du nom que j'ai donné à mes photos en les « renommant » après la préparation nécessaire à la mise en ligne sur un blog (allègement pour affichage plus rapide, parfois recadrage et/ou corrections de lumière).


    Joux Plane, c'est le col qui sépare Samoëns, à 4 km de chez nous, et Morzine ; c'est, avec ses environs, un lieu de promenade apprécié des habitants de la région et des nombreux touristes.

    S'il est « libre » la plus grande partie de l'année, il est fermé en hiver, à des dates variables, pour deux raisons : un risque d'avalanches juste après le passage du col (en venant de Samoëns) et l'occupation d'une partie de la route par des pistes de ski sur le versant Les Gets/Morzine.

    Les 2 vallées sont ainsi reliées par une route qui comporte de nombreux virages, mais également beaucoup de points de vue sur des paysages superbes, en toute saison.


    Les photos de ce premier article ont été faites alors que nous montions vers le col, les suivantes... après son franchissement !

     

     

     

     

              1.  les couleurs de l'automne avec, au centre, la Pointe de Sales (2 499 m) et la Tête à l'âne (2 804 m)

    Vers Joux Plane (#1)

     

              2.  un peu la même vue, en panorama plus large...

    Vers Joux Plane (#1)

     

              3.  un beau sorbier des oiseaux 

    Vers Joux Plane (#1)

     

              4.

    Vers Joux Plane (#1)

             à suivre...

     

     

     


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