La pandémie, l'épidémie, la Covid, le Covid, appelez ça comme vous voulez, mais cet ennemi invisible est toujours là pour gâcher nos vies, alors continuons de nous battre contre lui, faisons front et nous y arriverons.

Bon courage à toutes et à tous et prenez soin de vous.

Au début du mois de juillet nous sommes retournés en Italie, dans la ville d'Aoste que nous apprécions beaucoup.
La ville, les habitants, l'ambiance. Différent de notre séjour à Bruges.

Nous avons choisi de ne pas prendre « la voie directe » à l'aller, délaissant le tunnel du Mont-Blanc au profit du col du Grand-Saint-Bernard.

Après la beauté des paysages suisses au cours de la montée du col nous avons d'abord passé la frontière (invisible) puis devant les commerces italiens près desquels de très nombreux vehicules stationnaient (motos, voitures, camping-cars).

Nous avons aussitôt entamé la descente en « plongeant » dans un décor somptueux.
Des deux côtés du col la route est impeccable, le revêtement très « roulant » rend le voyage confortable. Si j'avais pu en prendre quelques kilomètres pour les déposer à certains endroits de notre village...

Notre pause pique-nique faite « à quelques lacets du col » avec une vue magnifique avait réellement un air de vacances. Courtes mais très agréables.

          1.  la signalisation des sentiers de randonnée est très bien faite et informe sur l'altitude de la destination, la
          durée du parcours et sa difficulté 

          2.  de nombreuses fleurs sur les versants bien exposés au soleil 

          3.  si vous n'appréciez pas les virages... (photo prise avec mon téléphone) 

                                     4.  une partie des installations « aériennes » du tunnel du Grand-Saint-Bernard
                                     La partie couverte de la chaussée, longue de plusieurs kilomètres, vient de
                                     Saint-Rhémy-en-Bosses avant de pénétrer dans la montagne (à gauche de la photo)

         à suivre... 

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