La pandémie, l'épidémie, la Covid, le Covid, appelez ça comme vous voulez, mais cet ennemi invisible est toujours là pour gâcher nos vies, alors continuons de nous battre contre lui, faisons front et nous y arriverons.

Bon courage à toutes et à tous et prenez soin de vous.

Au début du mois de juillet nous sommes retournés en Italie, dans la ville d'Aoste que nous apprécions beaucoup.
La ville, les habitants, l'ambiance. Différent de notre séjour à Bruges.

Nous avons choisi de ne pas prendre « la voie directe » à l'aller, délaissant le tunnel du Mont-Blanc au profit du col du Grand-Saint-Bernard.

Au cours de la montée nous avons fait plusieurs arrêts dont un près de l'étrange construction de la photo n°1.
Il s'agit de la partie aérienne d'une des 3 cheminées d'aération du tunnel. Haute de 169 m au total (à travers la roche) elle jouxte un bâtiment d'installations électriques.

Le tunnel du Grand-Saint-Bernard, ouvert en mars 1964 après 6 ans de travaux des 2 côtés, est long de 5 798 m et voit passer de 800 000 à 900 000 véhicules par an actuellement. On doit s'acquitter d'un péage (31 euros ou francs suisses pour une voiture). Il permet d'éviter le passage par le col en toutes saisons et pendant la fermeture hivernale du col (d'octobre au 1er juin). 

Le col se situe à une altitude de 2 473 mètres. Il a été franchi depuis la préhistoire et l'antiquité. C'est au 11e siècle que saint Bernard de Menthon obtint qu'il soit débarrassé des brigands qui rançonnaient et assassinaient les voyageurs puis qu'un hospice y soit construit pour héberger ces derniers.
Napoléon y est passé en 1800 avec une armée de 40 000 hommes.
Le col détient le record de Suisse avec une rafale de vent mesurée à 268 km/h en 1990.

Juste après l'Hospice un joli lac (photo n°3, en partie encore gelé lorsque nous y sommes passés début juillet) est bordé par la route. Deux cents mètres après on trouve une « cabane », c'est le poste de douane suisse ; le poste italien est un peu plus loin avant des commerces (hôtels, restaurants, bars, souvenirs), les 2 installations étaient vides lors de notre passage.

          1.  non ce n'est pas un château d'eau comme je le pensais !

          2.  vue vers le nord (la Suisse) au pied de la cheminée de la photo 1 

          3.  le lac juste après les bâtiments de l'Hospice ; les 2 constructions vues de face sont en Italie, la frontière
          traverse le lac

          4.  l'Hospice du Grand-Saint-Bernard (photo de 2012)

         à suivre... 

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La pandémie, l'épidémie, la Covid, le Covid, appelez ça comme vous voulez, mais cet ennemi invisible est toujours là pour gâcher nos vies, alors continuons de nous battre contre lui, faisons front et nous y arriverons.

Bon courage à toutes et à tous et prenez soin de vous.

Au début du mois de juillet nous sommes retournés en Italie, dans la ville d'Aoste que nous apprécions beaucoup.
La ville, les habitants, l'ambiance. Différent de notre séjour à Bruges.

Nous avons choisi de ne pas prendre « la voie directe » à l'aller, délaissant le tunnel du Mont-Blanc au profit du col du Grand-Saint-Bernard.
Un parcours allongé certes mais offrant des vues magnifiques, sans compter que nous prendrions le tunnel du Mont-Blanc au retour...

Notre itinéraire nous a fait passer par Chamonix, le col des Montets, Vallorcine avant d'entrer en Suisse au Chatelard.
Il faut ensuite monter puis descendre le col de la Forclaz pour arriver à Martigny, une grande ville du canton du Valais de près de 25 000 habitants où passe le Rhône.
Notre arrêt pique-nique dans le haut des vignobles nous proposait une belle vue de la vallée dans laquelle s'écoule le fleuve qui deviendra français à Genève (photo 1).

Après Martigny c'est le début de la montée de 43 km ; la pause café à Bovernier et les paysages somptueux nous ont donné assez de forces pour arriver au col escaladé par plusieurs cyclistes et pas mal de motos.
Pour notre part, c'est un grand merci à la voiture !

Nous avons laissé sur notre droite le barrage des Toules, malheureusement sans pouvoir s'arrêter plus tôt qu'à son extrémité.
La partie grise que l'on voit au début du plan d'eau est un ensemble de 1 400 panneaux solaires qui repose sur 1 000 flotteurs. Inaugurée en 2019 cette centrale photovoltaïque de 2 240 m² peut produire 800 MWh soit presque autant qu'un des plus petits réacteurs nucléiares en exploitation en France.
L'eau de la retenue rejoint le Rhône après passage dans 4 usines hydro-électriques.   

          1.  une partie de Martigny avec la tour du château de la Bâtiaz sur la gauche ; le Rhône vient du fond du côté
          gauche de la photo

          2.  la retenue du barrage des Toules

          3. les rhododendrons, un des symboles de l'été en moyenne montagne 

          4.  

         à suivre... 

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La pandémie, l'épidémie, la Covid, le Covid, appelez ça comme vous voulez, mais cet ennemi invisible est toujours là pour gâcher nos vies, alors continuons de nous battre contre lui, faisons front et nous y arriverons.

Bon courage à toutes et à tous et prenez soin de vous.

Ce 11 novembre ayons une pensée pour les nombreux soldats et civils qui ont payé de leur vie ou de leur intégrité physique les terribles années de la Première Guerre mondiale.

Nous avons fait récemment une courte visite en Suisse voisine.

À la suite de notre séjour à Gstaad nous avons fait une étape à Gruyères sur le chemin du retour.

Devant l'entrée du château on trouve un « coin photo » à ne pas manquer : une ouverture aménagée dans un mur ; donnant sur l'église et sur les montagnes elle permet d'asseoir des enfants, de faire des essais de cadrage « savants » que chacun tente de mettre en valeur .

Toujours devant l'entrée du château un sentier part sur la droite et descend doucement vers l'église. Le promeneur trouvera sur son parcours des moutons paissant une herbe maigre et l'indication d'une idée de balade convenant à pas mal de personnes que je connais (à commencer par moi !).

La photo n°3 montre le haut d'une tonnelle qui a connu de meilleures heures. Les feuille d'automne ont colonisé une des ferrures.

La dernière photo date de notre première visite en octobre 2019 et vous montre l'implantation du village « historique » de Gruyères.

          1.  entre le château et l'église quelques moutons cherchent leur nourriture

          2.  

          3.   « elle rongerait les grilles oubliées... » (La rouille, Maxime Le Forestier, 1972) 

          4.  le village médiéval vu de la plaine

La commune de Morillon est à la recherche de trois médecins.

Une maison médicale récente (lien) accueillera les volontaires rapidement, le dernier praticien de Morillon ayant quitté son poste le 1er décembre 2022.

Si vous connaissez un ou des médecins intéressés par un poste dans une commune sympa et dans un cadre magnifique, proposez-lui de contacter la Mairie de Morillon au 04 50 90 11 22 !  

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