•  

    En l'an II de la pandémie, il nous est toujours nécessaire de conserver les précautions qui nous permettront de vaincre le virus qui en est responsable.

    Ça ne se fera pas tout seul, c'est à nous tous de faire ce qu'il faut pour cela, afin de retrouver une vie normale.


    Bon courage à toutes et à tous et prenez soin de vous

     

     

     

    Après la dernière grimpette qui mène au-dessus du lac, nous avons profité d'une jolie vue et d'un banc pour notre pique-nique traditionnel. Seule la météo n'était pas superbe, avec un voile brumeux permanent et un vent léger qui incitait à mettre une couche supplémentaire...

    En fin de pause, le soleil est apparu en demi-teinte, mais suffisamment pour mieux colorer nos photos !

     

    Pour faire notre parcours en boucle, nous sommes descendus par le côté sud-ouest du lac, en direction du parking de Morsulaz où se trouve le bas d'un télésiège.
    La descente est très pentue sur plus d'1,5 km, le sentier est souvent garni de petits cailloux qui rendent la progression quelque peu périlleuse.
    La descente dans l'herbe sous le télésiège est plus facile mais tout de même risquée, ne mettant pas à l'abri d'une chute.

    En milieu de descente, nous sommes passé tout près de plusieurs cyclamens sauvages, dont le parfum se sentait à plusieurs mètres : un bonus pour les nez les plus fins !

    Arrivés au parking du télésiège de Morsulaz, il nous restait à longer le bord de la route sur 1 km pour retrouver nos véhicules.

     

     

     

              1.  Gisèle et Martine en finissent avec le dernier bout de côte !

    Randonnée : le lac Bénit (2)

     

              2.  avec une timide apparition du soleil, les couleurs sont un peu plus sympas et le lac prend une autre physionomie

    Randonnée : le lac Bénit (2)

     

              3.  Alain et Gisèle dans la descente : il faut « marcher sur des œufs »...

    Randonnée : le lac Bénit (2)

     

              4.  cyclamens sauvages au parfum exquis  sarcastic

    Randonnée : le lac Bénit (2)

     

              5.  

    Randonnée : le lac Bénit (2)

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    En l'an II de la pandémie, il nous est toujours nécessaire de conserver les précautions qui nous permettront de vaincre le virus qui en est responsable.

    Ça ne se fera pas tout seul, c'est à nous tous de faire ce qu'il faut pour cela, afin de retrouver une vie normale.


    Bon courage à toutes et à tous et prenez soin de vous

     

     

     

    Fin août nous sommes allés marcher côté nord du massif du Bargy, au lac Bénit qui se trouve sur la commune du Mont-Saxonnex (Haute-Savoie).

    Il s'agit d'un lac d'origine glaciaire, situé à 1 477 m d'altitude.

    Nous sommes partis du parking sur la gauche de la route montante, juste avant le lieudit le Bété.
    Démarrant à 1 165 m, il nous restait 312 m à gravir par un sentier en lacets avec une pente moyenne de 16% sur un peu plus de 2 km (blog Randos-MontBlanc).

    Après passage devant quelques chalets, on arrive en surplomb du lac, et l'on aperçoit les aménagements créés pour les visiteurs.

    Nous sommes descendus au bord du lac pour faire quelques photos puis la moitié du tour du lac, avant d'entreprendre une courte ascension pentue pour faire notre pause déjeuner.
    Une jolie vue sur le lac et le cône d'éboulis qui mène au col d'Encrenaz (qui sépare le Petit du Grand Bargy) a récompensé les efforts de tous !

     

     

     

              1.  ça monte ! et ça papote quand même... wink2

    lac Bénit (1)

     

              2.  à l'arrivée au-dessus du lac, qui se présente comme collé à la paroi rocheuse ennuagée 

    lac Bénit (1)

     

              3.  de l'extrémité nord-est du lac (sur la gauche de la photo n°2), on voit que l'éboulis plonge dans l'eau ; nous
              ferons notre pause juste en face, dans une trouée entre des sapins

    lac Bénit (1)

     

              4.  comme je l'ai lu sur une carte postale à texte, « pas d'ascenseur vers le succès, il faut prendre l'escalier » :
              ici, il faut grimper ce dernier raidillon, comme Marie et Grazia, pour mériter son casse-croûte !

    lac Bénit (1)

     

              5.  vue sur le cône d'éboulis dont l'origine se perd dans la brume ce jour-là ; on devine (sur la droite) les zigzags
              des traces laissées par des randonneurs-alpinistes

    lac Bénit (1)

             à suivre...

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    En l'an II de la pandémie, il nous est toujours nécessaire de conserver les précautions qui nous permettront de vaincre le virus qui en est responsable.

    Ça ne se fera pas tout seul, c'est à nous tous de faire ce qu'il faut pour cela, afin de retrouver une vie normale.


    Bon courage à toutes et à tous et prenez soin de vous.

     

     

    Nous avons progressé sur une sente à peine marquée dans la pente ouest de la pointe, avant de finir la grimpée par quelques lacets pour amortir la difficulté (photo 1).


    Arrivés au sommet à 1 548 m, où se trouve une borne géodésique, nous pouvions voir au-delà de Mégevette mais le temps plutôt « grisouille » rendait le paysage fade.

    Au moment de notre pause pique-nique... une fine pluie est arrivée ; nous avions tous de quoi nous protéger, et cette pluie n'a duré que 5 minutes : si notre « salle à manger du jour » n'était pas la plus belle que nous ayons connue, nous étions réunis et c'était le plus important  :-)


    Nous sommes descendus par le côté opposé à la montée, dans une trace terreuse marquée qui avait pris la pluie : résultat, toutes les chaussures se sont trouvées garnies d'une épaisseur de 2 à 3 cm de terre mélangée à de l'herbe, ce qui, ajouté à la pente, nous donnait une drôle de démarche...

    Nous avons ensuite (re)trouvé une large piste pour 4x4 et pris la direction du départ.
    Arrivés à l'oratoire, notre grand groupe de 6 s'est coupé en 2, pour éviter la pente encombrée de la montée à celles de nos compagnes qui craignaient la descente.

    Hélas ! Lorsque nous avons retrouvé nos marcheuses au col de Jambaz où nous avons amené les 2 voitures, il s'est révélé que le parcours pour y arriver était quasiment pire que celui qu'elles avaient évité, offrant plusieurs montées et surtout 2 descentes très raides sur un sol où la roche affleurait.

    Cette randonnée restera dans nos souvenirs, et il est plus que probable que nous ne la referons pas !

     

     

     

              1.  ce n'est pas une chasse au trésor, mais la visualisation de la montée en zigzag pour Margret, Thomas et Gisèle

    La pointe des Jottis (3)

                          

              2.  tout le monde s'équipe !
              Avant de s'occuper des casse-croûtes, c'est le vêtement de pluie que nous avons sorti...

    La pointe des Jottis (3)

     

                                         3.  sur le bord de la piste, une grande orchidée s'offre à nous au bout de sa
                                         longue tige d'une trentaine de centimètres

    La pointe des Jottis (3)

             

     

     

     


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique