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    Après quelques secteurs pierreux glissants et un peu d'escalade, nous sortons du bois pour retrouver le soleil !

    Sur notre gauche (photo 1), la paroi a l'aspect de lapiaz qui se seraient inclinés à plus de 45°.

    Nous montons dans un alpage à l'herbe rase pour déboucher sur le plateau de Cenise, une vaste étendue herbeuse entre les Rochers de Leschaux et la chaîne du Bargy, située à 1 724 m d'altitude ; devant nous, itinéraires possibles d'autres randon-nées, le col du Rasoir et le pic du Jallouvre, la Pointe Verte, avec le lac de Lessy en contrebas.

     

    Lorsque nous avons quitté l'herbe du plateau pour commencer à monter vers notre destination (la croix des Rochers de Leschaux), Grazia m'a fait remarquer que nous sommes venus dans cette partie du plateau de Cenise un hiver, pour une balade en raquettes que j'avais décrite ici.
    Comme j'ai dormi depuis et que le paysage est "un peu" différent, j'ai complètement "zappé" la relation  frown

     

     

     

     

              1.

    les Rochers de Leschaux

     

              2.

    les Rochers de Leschaux

     

              3.

    les Rochers de Leschaux

     

              4.  de gauche à droite : la Pointe du Midi (2 364 m), la Pointe de Balafrasse (2 296 m), la Pointe Blanche (2 438 m),
              le col du Rasoir (2 260 m) et le Pic de Jallouvre (2 408 m)

    les Rochers de Leschaux

     

              5.  la partie nord-est du plateau de Cenise, avec un troupeau au soleil

    les Rochers de Leschaux

             à suivre...

     

     


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    Dimanche 11, je suis allé avec 3 amies faire une randonnée que je ne connaissais pas : le tour des Rochers de Leschaux.


    Le départ se fait au col de Solaison, après être passé au Mont-Saxonnex, au-dessus de Cluses/Bonneville, pas très loin de la Pointe d'Andey où je suis déjà allé avec Grazia, notre guide du jour.


    D'après les descriptions, il s'agit d'une randonnée de niveau moyen ; je pense que c'est une bonne cotation, car il faut être bon marcheur pour combiner la distance (pas très élevée), le dénivelé (pas trop fort non plus) et surtout les quelques passa-ges un peu délicats, à la montée comme à la descente, sur des pierres très glissantes par endroits.

    Donc, une randonnée, pas une simple balade, où il ne faut pas s'engager ni tardivement dans la journée ni lorsqu'il pleut.

    En hauteur, on trouve des lapiaz (lapiés) ; le cheminement est sympa par temps sec, mais il est fortement déconseillé de s'y aventurer par temps de brouillard ou lorsque le sol n'est recouvert que de quelques centimètres de neige : gare aux trous aux bords acérés !

     

    Grazia a choisi de monter par le côté qui passe à la grotte de La Glacière : en route avec nous !

    lien vers Randos-MontBlanc

     

     

     

              1.  la Pointe d'Andey (1 877 m) et les hauteurs du village de Brison

    la pointe d'Andey

     

              2.  une belle végétation en début de parcours

    les Rochers de Leschaux

     

              3.  la grimpée vers La Glacière est rude, dans un sous-bois un peu sombre

    les Rochers de Leschaux

     

              4.  la grotte de La Glacière, d'où sort un courant d'air qui justifie le nom de l'endroit ; a priori, le névé au fond
              est permanent, il fût un temps où des gens venaient ici chercher de la glace pour conserver les aliments

    les Rochers de Leschaux

      

     5.  quelques passages sont (bien) équipés de cordes                6.  avec les mains, ça marche aussi !

    les Rochers de Leschaux  les Rochers de Leschaux

      à suivre...

     

     


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    Je l'ai écrit dans le premier article sur ce sujet, j'ai eu la chance d'accéder à un endroit où sont conservées des bennes et des télécabines anciennes - vraiment anciennes - en attente de restauration, pour devenir, si l'idée peut faire son chemin, les pièces vedettes d'un musée du transport par câble.

     

    En attendant, vous avez comme moi la possibilité de voir (même de loin... c'est bien) ces appareils qui ont une histoire, qui ont servi pendant de nombreuses années, comme cet "oeuf" rouge d'une remontée des Gets, les premiers à être proposés à la vente au grand public par Bric et Broc.


    La photo n°3 montre une cabine venant du téléphérique de Namur, en Belgique (lien).
    Ce téléphérique construit en 1956 (il y a 60 ans...) a été mis en service fin mars 1957, et a servi jusque fin mars 1997 ; il était composé de 62 cabines, et transportait le public entre la place du Château et la gare du Belvédère sur une distance de 2 200 m. 


    La photo n°4 est celle d'une cabine de transport de blessé : celui-ci était "enfilé" par une petite porte située sur le côté gauche, un accompagnateur (ou plus ?) pouvait se tenir dans la partie centrale.
    Elle n'est pas en très bon état, mais elle peut être réparée.


    La photo n°8 est un peu différente...
    À l'occasion du passage du Tour de France à Taninges en juillet 2016, les propriétaires on souhaité décorer à leur manière leur site, en faisant un clin d'oeil à tous les cyclistes qui descendraient - comme les coureurs - cette partie de route venant des Gets, de Morzine (et pour le Tour de France, du col de la Ramaz) ; vous pouvez cliquer sur la photo pour la voir en plus grand !

     

    Je vous laisse entrer pour la visite :

     

              1.  oeuf de la remontée mécanique des Gets

    Bric et Broc

     

    2.                                                                                       3.  téléphérique de Namur

    Bric et Broc  Bric et Broc

     

              4.

    Bric et Broc

     

     5. et 6.  une cabine spécialement préparée pour la Saint-Valentin, commande d'une société parisienne !

    Bric et Broc  Bric et Broc

     

                                            7.

    Bric et Broc

     

              8.

    Bric et Broc

     

     

     

     


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