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    Fin janvier, nous sommes allés Martine et moi passer une journée au col des Aravis, pour rencontrer une connaissance normande en vacances.

     

    Ce col est situé entre La Clusaz (Haute-Savoie, 27 km au-dessus d'Annecy) et La Giettaz (Savoie).

    Il est situé à une altitude considérée comme moyenne, mais les nombreux cyclistes qui l'escaladent peuvent en attester : il faut quand même pédaler pour basculer sur le versant opposé. Je l'ai moi-même gravi il y a de nombreuses années (c'était au siècle dernier !) pendant des vacances dans la région.
    Il figure assez fréquemment sur l'itinéraire du Tour de France (39 fois d'après Wikipédia).

    Au niveau du col, il existe 3 restaurants, 1 ou 2 magasins de souvenirs (qui vendent par exemple des peaux de mouton, des cloches, des gadgets pour touristes...) et une chapelle.

     

    En début d'après-midi, nous avons remarqué un rassemblement assez important d'attelages de chiens : plusieurs mushers attendaient des clients qui participaient à un séminaire.
    Le retard (non négligeable) de ces derniers nous a permis de voir et de photographier ces magnifiques sportifs des neiges que leurs maîtres adorent (cf. photos 5 et 6).

     

     

     

     

              1.  pas tout neuf, le panneau : son esthétique rappellera des souvenirs aux personnes de ma génération !

    col des Aravis

     

              2.  une ferme d'été blottie dans la neige

    col des Aravis

     

              3.  m'énerve, çui-là, avec sa photo...

    col des Aravis

     

              4.

    col des Aravis

     

              5.  l'attente a été longue et beaucoup de chiens s'impatientaient : les mushers allaient souvent les calmer

    col des Aravis

     

              6.

    col des Aravis

     

             à suivre...

     

     


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    Enfin des photos de neige, penserez-vous peut-être ?

     

    Certes... mais comme souvent, et encore plus cette fois, je ne suis pas satisfait de mes prises de vue ; la lumière est "plate" et ne fait rien ressortir.

    Vous me répondrez aimablement que j'ai fait avec ce qu'il y avait... et c'est vrai : s'il a neigé récemment, il ne fait pas beau, et nous avons profité, Martine et moi, d'un semblant d'éclaircie pour monter "au chalet des chats", malgré qu'ils n'y soient plus depuis mi-décembre.
    Mais on ne sait jamais, alors...

     

    J'espère que le soleil reviendra un peu inonder la région (et pas seulement la vallée, je pense à ma voisine Cordée 74190 !) pour que les photos soient un peu plus "montrables".

     

     

     

              1.  nous quittons la piste verte de Morillon - Les Esserts, peu fréquentée en ce jour de semaine post-vacances

    Morillon

     

              2.  devant le chalet, vue sur la montagne de Criou au-dessus de Samoëns

    Criou, lesEsserts

     

              3.  journé porte ouverte pour le "cacatire", qui respire le grand air  ;-)

    Criou vu des Esserts

     

              4.  zoom sur le Criou moins ennuagé : c'est tout de même "plat"... (pas la montagne...)

    Criou vu des Esserts

     

     

     


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    Après avoir regardé les skieurs évoluer (article 1), nous attaquons la grimpette en parallèle au télésiège de la Turche ; c'est plus facile pour "les rois de la glisse" (photo 1) mais notre plaisir à nous, c'est la balade pleine neige, dans la nature (et parfois à côté de la civilisation), quand ça monte et que ça redescend ! 

     

     

              1.  cool sur leur télésiège, les skieurs croisent les spatules avant de refaire une descente !

    Le Sincerneret

     

              2.  nous sommes au plus haut de notre balade (1 685 m), avec vue sur le Criou sous un angle inhabituel pour nous
              (sur la gauche), le Mont-Buet (centre-gauche, 3 096 m), la pointe de Sales et le massif du Mont-Blanc (centre-
              droite) ; l'amalgame coloré au-dessus et à gauche du premier skieur est constitué par les clients en terrasse d'un
              restaurant d'altitude, il y en a un autre un peu plus loin sur la droite

    Le Sincerneret

     

              3.  plus sauvage avec un panorama exceptionnel, c'est notre salle-à-manger du jour !
              Le Mont-Blanc paraît tout proche, mais...

    Le Sincerneret

     

              4.  en direction du bois pour entamer la descente, moins vite que les skieurs  ;-)
              Droit devant, le Marcelly (1 999 m) au-dessus de Taninges

    Le Sincerneret

     

              5.  Alain progresse sereinement sur fond de pointe de Chalune et de Roc d'Enfer

    Le Sincerneret

     

     

              Fin de notre randonnée au bas de la descente : c'était une belle journée yes

     

     

     

     

     


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