En l'an II de la pandémie, il nous est toujours nécessaire de conserver les précautions qui nous permettront de vaincre le virus qui en est responsable.

Ça ne se fera pas tout seul, c'est à nous tous de faire ce qu'il faut pour cela, afin de retrouver une vie normale.

Bon courage à toutes et à tous et prenez soin de vous.

L'organisation du travail et des prestations de la Tschavana est efficace et bien rôdée : le restaurant propose un menu permanent (probablement modifié de temps en temps) et un menu du jour avec plusieurs options.
Bien sûr, les 2 parties sont constituées de plats simples et confectionnés au maximum avec les produits de l'exploitation ou de la proche région. On n'y trouve pas de termes « ronflants » qui débouchent sur des déceptions...

Ici, la cuisine est simple, Italienne, et c'est bon !
Il n'est que voir le nombre de personnes qui se sont succédées à la commande et qui ont déjeuné aux abords du bâtiment pour comprendre que cette formule connaît un beau succès.

Après avoir commandé et réglé notre repas, nous sommes allés nous installer dans la belle salle qui offre plusieurs tables au nombre de convives variable.
Pour y accéder, une employée demande le « green-pass ».
À peine avons-nous posé nos affaires de marche que le petit boîtier remis à la caisse émet une sonnerie : cela signifie que notre commande est prête !

Il faut se rendre à l'entrée de la cuisine, où l'on vous apporte une petite cagette qui contient 2 boîtes en carton alimentaire compressé, des couverts en plastique, des verres et les boissons que vous avez commandées.
La cagette et le boîtier-sonnerie ont le même numéro : pas d'erreur, c'est pour nous !
Chaque boîte en carton est constituée de 2 compartiments ; sur le couvercle, 2 pastilles, l'une avec le nom de « la viande » (saucisses, autre) et l'autre avec le genre d'accompagnement (polenta nature, au fromage, ou autre produit).
C'est chaud et ça le reste, et c'est très bon  

Pour le dessert (excellentes glaces au lait de la ferme, plusieurs tartes et gâteaux) et le café, l'achat se fait par la suite auprès d'un autre employé.

À la fin du repas, les convives emportent la totalité du matériel jusqu'aux bacs dédiés au recyclage ou à l'évacuation ; la ségrégation des matériaux est faite à l'aide d'étiquettes (en italien) et si l'on ne comprend pas, il suffit de voir ce qu'il y a déjà dans chaque bac ou de demander à la personne chargée de cette partie du service.

          1.  un petit étang où nageaient plusieurs poissons de la taille d'une truite, et des tables prêtes à recevoir des
          marcheurs souhaitant prendre un repas dans un beau paysage de montagne

          2.  pendant la descente, une photo du rû Courtaud : il n'est pas bien large, mais avec son débit permanent, il 
          a pendant de nombreuses années assuré l'approvisionnement en eau de Saint-Vincent après un parcours de 25 km
          et une descente de 1 400 m

          3.  prairie et mont Zerbion, un vrai décor de vacances !

          4.  un dernier regard vers les glaciers (Breithorn, Rocher noir, Castor et Pollux) et nous rejoindrons la vallée

         à suivre...