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    L'hiver, « le vrai hiver » avec son manteau de neige que certains attendent impatiemment et que d'autres exècrent, a quelque peu tardé à arriver dans notre région. Si depuis ces photos le froid et les flocons ont fait leur apparition, jusque début janvier, il fallait aller assez haut pour trouver la poudre blanche et skier dessus.


    Pour beaucoup, cependant, la neige n'est pas vraiment « un cadeau ».
    Bien sûr, elle peut être une source de plaisir, et dans la vallée du Giffre comme ailleurs en montagne, elle est une source importante de revenus, pour les commerçants et les loueurs de gîtes ou de chalets.

    Mais à force de la déblayer, cette neige, pendant des heures, matin et soir et parfois plus, certains en ont plus qu'assez et ne sont pas mécontents de constater qu'à des altitudes de plus en plus élevées, la neige est de moins en moins au rendez-vous.

    Intérêts contradictoires... Pour certains c'est le présent et l'avenir, pour d'autres le passé et un présent redouté.
    Bref, la neige, c'est bien, mais ailleurs. Un peu comme les éoliennes... On veut du courant, mais pas voir de chez soi ces énormes ventilateurs qui le produisent, c'est bon pour « les autres ».

    Depuis des dizaines d'années, la neige est devenue une économie à part entière, et les années où elle se fait rare... ça grince des dents, et on peut le comprendre.

    Mais lorsque l'on constate les effets du changement climatique (à part quelques bornés, on ne peut que constater une évolution, non ?), on peut penser que cette neige, il faudra aller de plus en plus haut pour la trouver et pour en profiter.

    Aujourd'hui, elle est tombée, alors nous ferons « avec » pour quelques mois. Un éternel recommencement, pour le moment...

     

     

     

     

              1.  Samoëns, 24 novembre 2018

    Hiver tardif

     

              2.  Samoëns (le Criou, 2 220 m), 9 janvier 2019

    Hiver tardif

     

              3.  Samoëns, 9 janvier 2019

    Hiver tardif

     

              4.  pour moi, tant que ça dure comme ça, c'est impec !

    Hiver tardif

     

     

     


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    Je l'ai écrit dans les articles précédents, la station d'Avoriaz est faite pour les piétons et les skieurs.

    Les véhicules automobiles en sont bannis, sauf ceux qui transportent les vacanciers au moment de leur arrivée puis de leur départ, avec leurs monceaux de bagages.

    Une autre catégorie de véhicule est présente : celle qui assure les secours, comme cette chenillette de pompiers ou - plus étrange - cette ambulance, qui est en fait une véhicule «normal » auquel il a été ajouté 2 paires de mini-chenilles entraînées par les roues.
    Simple et efficace, il fallait y penser !

     

    La photo n°3 montre le bas de pistes à l'entrée de la station ; il y en a beaucoup d'autres (51 au total et 34 remontées mécaniques).

     

    Si voulez voir par vous-mêmes les objets des photos 4 et 5, ne traînez pas !
    L'hôtel éphémère « Flying Nest » créé par la société AccorHotels, mis en service le 22 décembre, sera démonté le 18 mars.
    Réalisé à partir de conteneurs habillés de bois et aménagés de manière confortable (grand lit, salle de bains moderne, climatisation), cet ensemble de 25 « boîtes » avec terrasse, imaginé par l'architecte Ora-Ïto, propose également un local commun pour le rangements du matériel de ski et le petit-déjeuner en salle commune.

    Prix : de 150 à 200 euros selon la nuit de la semaine, petit-déjeuner inclus ; voir ici.

     

     

     

              1.

    Avoriaz, décor d'hiver (#3)

     

              2.

    Avoriaz, décor d'hiver (#3)

     

              3.

    Avoriaz, décor d'hiver (#3)

     

              4.

    Avoriaz, décor d'hiver (#3)

     

              5.

    Avoriaz, décor d'hiver (#3)

     

     

     


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    Les concepteurs de la station ont voulu qu'elle soit entièrement dédiée aux skieurs et aux vacanciers.

    Les rues, en hiver, restent complètement recouvertes de neige ; les piétons se trouvent ainsi mêlés aux skieurs qui rejoignent leur hébergement ou un restaurant, ainsi qu'aux différents moyens de transport (essentiellement pour les bagages) dont beaucoup de traîneaux tirés par un cheval.

    Cela créé une ambiance particulière, inhabituelle et agréable, même s'il faut « ouvrir l'œil et l'oreille » pour éviter des rencontres inopinées !

     

    Situé près de l'entrée du village, le bâtiment de la photo 3 est constitué de plusieurs zones de parquage temporaire de véhicules, qui déposent passagers et bagages le jour de l'arrivée et qui viennent les reprendre au moment du départ.
    Les vacanciers sont amenés sur place ou pris en charge en calèche ou avec des engins montés sur chenilles, cela ajoute une touche « unique » à la carte d'identité de cette station qui, depuis plus de 60 ans qu'elle existe, connaît une renommée internationale et régionale de premier plan.


    Avoriaz fait partie du domaine skiable des Portes du Soleil, elle en est même située géographiquement au centre (val d'Abondance et vallée d'Aulps en France, val d'Illiez et val de Morgins en Suisse).  

     

     

     

              1.  dans cette rue en pente, vous pouvez apercevoir 2 skieurs en arrière de la calèche

    Avoriaz, décor d'hiver (#2)

     

              2.

    Avoriaz, décor d'hiver (#2)

     

              3.  le bâtiment des quais d'arrivée/départ, côté village

    Avoriaz, décor d'hiver (#2)

     

              4.  c'est le jour du départ pour ces personnes qui viennent d'être déposées par un des moyens de transport

    Avoriaz, décor d'hiver (#2)

             à suivre...

     

     


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