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    Je vous propose 2 photos aujourd'hui, prises du même endroit : une de nos fenêtres de cuisine.

    Elle donne vers l'ouest, en direction de Taninges, Genève, ... mais surtout, du pic du Marcelly (1 999 m d'altitude) que vous pouvez apercevoir sur la première photo.

     

    « Avant », on pouvait voir - aussi - un arbre, un poirier, situé dans le jardin de la propriété jouxtant la nôtre ; mais il y a quelques mois, cet arbre vénérable a dû être abattu en raison de son âge et de la maladie qui le rongeait (réellement), le rendant dangereux.

    Michèle a été super désolée de cet épisode et avait promis de ne plus regarder de coucher de soleil. Heureusement, elle n'a pas tenu parole et a produit la magnifique première photo.

    La couche nuageuse est assez compacte et présente des espèces de boules, qui fait classer ce ciel dans la catégorie des mammas (voir l'article de Wikipédia).

     

    La deuxième photo montre un paramoteur qui évoluait dans le ciel de Morillon, avec en fond un coucher de soleil qui m'a paru sympa. J'ai cadré pour avantager l'engin motorisé et les couleurs du ciel au détriment de la montagne...

     

     

     

     

              1.  photo de Michèle

    Dans les nuages

     

              2.

    Dans les nuages

     

     


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    Je n'ai pas pris beaucoup de photos cet été ; en voici malgré tout quelques-unes, avec un titre « piqué » à Sheila (paroles et musique : Bryant, Carrère, Ithier, 1963).

    Pour commencer, la plus belle n'est pas de mon cru. Elle a été prise par Martine au cours d'une randonnée au-dessus de Flaine (Haute-Savoie).
    Les fleurs sont celles de la terrasse de l'établissement où le petit groupe prenait un rafraîchissement.

    La 2è montre une partie du très beau feu d'artifice du spectacle donné à Brusson dans le Val d'Ayas (Italie).
    Un conte musical où musique et éclatement des fusées étaient synchronisés « tip-top » !


    La photo n° 3 est celle du nid de « nos » mésanges, un couple qui a travaillé dur pour aménager un coin douillet dans le nichoir disposé à côté de la maison ; elles ont été récompensées par la naissance de plusieurs petits.
    Mais quel boulot pour mener tout ça à bien... Combien de fois les avons-nous vues apporter brindilles puis nourriture, se glissant dans le trou réduit à dessein, et en ressortant pour revenir peu de temps après.
    Chapeau pour cet instinct et ce dévouement.


    Enfin, la n° 4 - au cadrage trop serré - montre un beau mouvement sportif, pas donné à tout le monde...
    À cet endroit (les gorges des Tines), le passage du torrent le Giffre entre les masses rocheuses est resserré, et permet tout juste aux embarcations pneumatiques de se glisser, les passagers devant relever leur pagaïe. Les moniteurs en profitent pour proposer aux plus intrépides de se mettre à l'eau pour rejoindre un petit débarcadère naturel d'où ils peuvent accéder à une partie de la paroi située à 5-6 mètres au-dessus de l'eau ; et là... plouf !  

     

     

             

              1.  Flaine, les Grandes platières et le massif du Mont-Blanc - photo prise par Martine en juillet

    ghd

     

              2.  Brusson (Italie) - spectacle « son et lumières », un conte mythique illuminé de toute beauté

    ghd

     

              3.  nid de mésanges bleues dans un nichoir (10 x 10 x 5 cm)

    ghd

     

                                          4.  gorges des Tines (Sixt-Fer-à-Cheval)un moniteur de rafting effectue
                                         un saut périlleux arrière pour montrer à ses passagers qu'il n'est pas dangereux
                                         de sauter dans le Giffre à cet endroit (ils sauteront, eux, droit debouts !)

    ghd

     

     

     


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    Je termine cette série sur les rivières de l'ancienne Haute-Normandie et sur le fleuve qui la traverse, la Seine, trait d'union entre la mer et le monde industriel compris entre Paris et Le Havre, avec ses usines, ses appontements et ses quais de transfert où des cargos venus du monde entier déchargent leur marchandise ou emportent dans leur ventre des tonnes de céréales ou des voitures.


    J'ai toujours habité à très petite distance de la Seine lorsque j'étais en Normandie.
    J'abuserais en disant que je me souviens de la première fois où « j'ai pris le bac », ce moyen de passage d'une rive à l'autre si pratique et plein d'aventure quand on est enfant.

    Je n'ai jamais vu le mascaret remonter le fleuve, ni la glace le recouvrir en 1956. Mais je sais quelle importance économique il a eu et il a encore pour cette région et pour ses habitants.

     

    Les photos 4, 5 et 6 sont celles de tableaux exécutés par Michèle Ratel, artiste-peintre à Poses (Eure).
    Il y a quelques années, j'ai visité plusieurs fois son atelier à l'occasion de passages en randonnée, et beaucoup de ses tableaux me plaisaient ; je n'ai jamais concrétisé...

    Vous pouvez consulter son travail ici.

     

     

     

     

              1.  la Seine à Orival, étalée sur la rive gauche ; le flot s'écoule du haut de la photo vers le bas à gauche
              La photo est prise du chemin des Roches entre Orival et Oissel (Seine-Maritime)

    Au fil de l'eau normande (#3)

     

              2.  vue vers Oissel, prise du chemin des Roches

    Au fil de l'eau normande (#3)

     

              3.  la Seine à Poses (Eure),en amont du barrage que l'on aperçoit, près de l'atelier de Michèle Ratel

    Au fil de l'eau normande (#3)

     

                       4, 5 et 6.

    Au fil de l'eau normande (#3)            

    Au fil de l'eau normande (#3)

                             Au fil de l'eau normande (#3)

     

     

     


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