• Vers le refuge de Bostan (#2)

     

     

    La montée vers le refuge est régulière et ne présente aucune difficulté lorsque la piste a été damée par le gérant, avec un engin motorisé (dameuse).

    Lors de ma première montée en janvier, c'était le cas, la neige était bien tassée et lorsque je suis redescendu après la pause casse-croûte vers 14 heures, j'ai pu « filer » autant que mon engin hybride le permettait : pour être franc, je me suis régalé.

    Par contre, la deuxième fois, il avait neigé fort le dimanche, et c'est le passage des seuls skieurs de randonnée qui avait un peu marqué la trace ; dans le bois, à l'abri du soleil direct, pas de problème, mais plus haut, je m'enfonçais jusqu'au genou de temps en temps (un peu trop souvent, même...). Je me suis entêté pour aller jusqu'aux abords du refuge (où quelques personnes dégageaient la dameuse à la pelle), et pendant la descente, ça glissait mal et les trajectoires étaient aléatoires à cause des trous que j'avais faits à la montée...
    Mauvais plan ce jour-là, j'ai fini « sur les rotules » !

     

    En été (aux époques sans ou avec très peu de neige), on peut aller jusqu'au col de Bostan - sur la frontière entre France et Suisse à 2 290 m - et redescendre en passant par la Tête des Verdets (2 406 m) et la Tête de Bostan (2 295 m) qui lui succède, ou pour les plus « costauds », passer le Pas au Taureau et redescendre par le refuge de Foly (carte IGN 3530 ET).

     

     

     

     

              1.  vue vers l'arrière sur ce dôme de neige « croûtée »

    Vers le refuge de Bostan (#2)

     

              2.  sur la gauche, la Pointe du Tuet

    Vers le refuge de Bostan (#2)

     

              3.  photo de fin janvier : le refuge est à l'ombre et le restera

    Vers le refuge de Bostan (#2)

     

              4.  photo de début février : le soleil a gagné du terrain

    Vers le refuge de Bostan (#2)

     

              5.  photo de janvier 2017 : Thomas s'essaie au paret ; les pieds effleurent juste le sol pour rétablir l'équilibre, ils
              servent également de freins lorsque c'est nécessaire...

    Vers le refuge de Bostan (#2)

     

     

     

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  • Commentaires

    1
    Alizée
    Mardi 19 Février 2019 à 11:13

    Je n'ai jamais marché dans la neige poudreuse en montagne, mais j'imagine que c'est aussi difficile que marcher dans le sable mou (les dunes). On s'enfonce, avance lentement et il faut déployer beaucoup d'efforts à chaque pas. C'est épuisant. On cherche à trouver un moyen de sortir de cet itinéraire le plus tôt possible.

      • Mercredi 20 Février 2019 à 07:29

        Dans la neige poudreuse, ça peut être difficile et fatigant selon l'épaisseur ; pour éviter cela, on utilise des raquettes, qui permettent de se déplacer un peu partout, c'est très sympa.

        Marcher dans de la neige un peu molle se rapproche plus du sable, de la neige qui fond un peu au soleil ; là, on peut évoluer sans raquettes, avec ou sans crampons. Et oui, c'est aussi fatigant à la longue !

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    2
    Nil
    Dimanche 24 Février 2019 à 12:19
    Je confirme la marche en poudreuse c'est aussi difficile que dans le sable....mais c'est tellement agréable mais avec les crampons, quand ça grimpe c'est mieux sinon on repart en arrière (du vecu) hi bi hi
      • Lundi 25 Février 2019 à 06:37

        Les crampons, ce sont les pneus hiver du piéton !
        C'est surtout pratique (indispensable) sur les surfaces glacées, lorsque la fonte de la neige regèle la nuit...

        Une balade dans la poudreuse en raquettes, c'est vraiment une mini aventure en pleine nature, j'aime beaucoup.

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