La pandémie, l'épidémie, la Covid, le Covid, appelez ça comme vous voulez, mais cet ennemi invisible est toujours là pour gâcher nos vies, alors continuons de nous battre contre lui, faisons front et nous y arriverons.

Bon courage à toutes et à tous et prenez soin de vous.

 

 

 

 

 

Dans notre région du Faucigny, et dans la vallée du Giffre, l'élevage reste une part importante de l'activité humaine malgré l'impact du tourisme et de l'industrie (décolletage dans la vallée de l'Arve, mécanique de précision, activité immobilière).

Au gré de promenades ou de randonnées, nous pouvons voir des chevaux, des moutons et des chèvres, mais les plus représentés sont des bovins.
Des bœufs élevés pour donner de la viande, des vaches pour fournir du lait et aussi de la viande, selon leur race.

Trois races principales composent les troupeaux que l'on peut rencontrer jusqu'à des altitudes assez élevées (2 000 m environ) :
- l'Abondance (auparavant connue sous le nom de chablaisienne), à robe acajou et à la tête blanche sauf le tour des yeux acajou également, ce qui la fait surnommer « la vache à lunettes » !
- la Tarine, originaire de Tarentaise en Savoie, plus petite, de couleur caramel plus ou moins foncé, avec le tour des yeux et le mufle noirs
- la vache d'Hérens, issue du Valais suisse, au tempérament vif voire belliqueux : des combats (dits « combats de reines ») sont organisés en Haute-Savoie et en Vallée d'Aoste (Italie).
De taille moyenne mais au corps trapu et musclé, elle est toute noire avec de larges cornes.

Nous avons vu parfois des vaches de race Aubrac, à la robe d'une belle couleur froment, élevées pour la viande. C'est une race rustique, facile à élever et peu exigeante.

Je vous propose quelques photos de mes rencontres, qui se sont toujours déroulées sans dommage  :-)

 

 

 

          1.  une Aubrac photographiée au-dessus de Flaine

  

          2.  des Abondance en cours d'emmontagnage au-dessus de Samoëns

 

          3.  taureau Hérens (très paisible) faisant ami-ami avec un spectateur venu assister au Rallye du Mont-Blanc
         (Samoëns)

 

          4.  vache de race Salers venue en touriste dans la région (Flaine)
          Elle aussi rit, mais de quoi, de qui ? De moi peut-être ? Son œil malicieux la rend sympathique 

 

 

 

  Voir la page Petites annonces ici. 

 

 

 

 

 

 

En l'an II de la pandémie, il nous est toujours nécessaire de conserver les précautions qui nous permettront de vaincre le virus qui en est responsable.

Ça ne se fera pas tout seul, c'est à nous tous de faire ce qu'il faut pour cela, afin de retrouver une vie normale.

Bon courage à toutes et à tous, et prenez soin de vous.

 

 

Il y a quelques jours, je vous informais des prochaines naissances espérées dans notre foyer.

Eh bien... c'est fait, depuis samedi matin 29 mai !  

En observant à partir de quel moment les 2 mésanges adultes sortaient du nichoir des éléments blancs dans leur bec (sac fécal, coquille d'œuf), j'avais envisagé que l'envol pourrait avoir lieu entre le samedi et le vendredi suivant.

La veille (le vendredi), nous avons remarqué la présence fréquente d'un jeune au trou d'entrée/sortie du nichoir.
On le devinait un peu en retrait, puis il passait un peu la tête, la rentrait, ...
Ce que nous ne savions pas, c'est s'il s'agissait toujours du même oisillon ou de plusieurs « petits curieux » !

Alors samedi, au premier jour du « créneau », lorsque j'ai revu un des jeunes commencer à bien sortir de la boîte, j'ai appelé Martine, attrapé mon apn et... nous les avons vu quitter le nid parfois avec hésitation ou difficulté ; d'ailleurs, par deux fois, un des adultes est venu sur le bâtonnet pour attirer le jeune à l'extérieur.

Au total, en 11 minutes, ce sont 8 jeunes mésanges que nous avons vues partir, 8 « petites bleues » que nous reverrons peut-être dans le futur, sans les reconnaître bien évidemment.

Nous étions très heureux que l'envol se soit bien passé ; pendant les jours précédents, nous avons effrayé les pies qui circulent à proximité, et incité les 2 chats de nos voisins à aller voir ailleurs    (nous les adorons, ces chats, ils passent beaucoup de temps chez nous !).

Le top, vous le lirez photo n°4.
Mais notre grande satisfaction c'est d'avoir pu aider le couple de mésanges qui a nidifié ici à mener à bien la ponte et l'élevage de leurs petits, avec courage et abnégation, avant que ceux-ci n'entrent dans le grand monde, en continuant à leur procurer de la nourriture en complément de celle qu'elles trouvent dans la nature.

Nous leur avons souhaité bonne chance, car pour elles la vie ne sera pas facile...

 

 

                                      1.  j'y vais ou j'y vais pas ? Quel est ce monde étranger ?
                                     J'ai peur de quitter le nid douillet, mes frères et mes sœurs...

 

                                      2.  un des adultes vient inciter un autre poussin timide à sortir avec une graine
                                     dans le bec

 

                                      3.  la sortie du 4ème oisillon : il n'a pas encore déployé ses ailes, ses pattes
                                     sont encore accrochées au bois du nichoir, pour très peu de temps !

 

                                      4.  « mais j'ai peur, moi, et il fait froid chez vous, je veux rester ici »
                                     C'est le n° 5 qui prend son temps et manifeste ainsi à la fenêtre, enfin, à la
                                     porte !
                                     Peu de temps après, il s'est décidé à s'envoler, et il a franchi les 4 mètres face
                                     à lui pour venir se poser... sur mon doigt, celui qui appuie sur le déclencheur
                                     de l'apn. Imaginez ma stupeur, et aussi le bonheur que j'ai pu ressentir lorsque
                                     les jeunes griffes de ses pattes ont serré ce perchoir providentiel...
                                     Environ 15 secondes sans quasiment respirer, l'oiseau à quelques centimètres
                                     de moi, et puis... la liberté gagnée à tire-d'aile, la vie devant soi... 

 

          5.  le huitième et dernier de nos protégé(e)s s'est habillé de flou... mais son envol est bien net et sans bavure !

 

 

 

Le 184 ème Festival des Musiques du Faucigny
prévu le dimanche 28 juin 2020 à Taninges (Haute-Savoie) est reporté au 27 juin 2021.

Suivez ce lien pour en savoir plus.

 

 

Dimanche 18 juillet 2021 aura lieu la 12ème édition de la cyclosportive
JPP Neuf de Cœur

3 parcours vous sont proposés, tous partant de Cluses et arrivant aux Carroz d'Arâches :

- 70 km (environ 1 000 m de dénivelé +) avec la côte de Balme
comme difficulté principale juste avant la montée aux Carroz

- 110 km (env. 2 400 m de D+) avec montée du col de la Colombière
à partir du Grand-Bornand puis la côte de Balme

- 130 km (env. 3 500 m de D+) comprenant le col et le plateau des Glières,
passage au Grand-Bornand pour l'ascension du col de la Colombière
et final comme le parcours précédent

 Vous retrouverez le détail des parcours et les conditions d'inscription
en suivant ce lien.

Venez nombreux, c'est pour une bonne œuvre !