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Pendant l'ascension du Cormet de Roselend, nous avons vu beaucoup de vaches en pâtures, en troupeaux pouvant comprendre de
nombreuses têtes.Photos 4 à 6, un troupeau de tarines est en attente de traite dans une station d'altitude ; cette race fournit le lait pour la fabrication du fromage de Beaufort (AOP). Le lait est collecté dans un container avant transfert vers la ferme ou la coopérative soit 1 fois, soit 2 fois par jour.
La superbe photo N° 3 est de Martine.
Après le Cormet de Roselend, la route arrive au-dessus du lac formé par le barrage de Roselend (1. et 2.) et donne des vues superbes au fil de la descente.
Une pause pour admirer la chapelle et nous voici rapidement à Beaufort (3.) pour un arrêt-fromage programmé par Martine
Notre itinéraire nous emmène ensuite au col des Saisies (1 650 m) avant de passer à Notre-Dame-de-Bellecombe (4.) et de prendre la direction de Megève, Sallanches, ...,
pour le retour à la maison.Cette sortie m'aura permis de découvrir les 2 cols Saint-Bernard et des régions de montagne que je ne connaissais pas, de voir des paysages
magnifiques, ainsi que de repasser par l'Italie que nous aimons bien (la Suisse également !).Au tout début juillet 2012, "faire du tourisme" était un bon plan, il y avait peu de monde sur les routes !
la vache tarine sur lesitedeclovis
6 commentaires -
Après l'arrêt au Col du Petit-Saint-Bernard, nous poursuivons notre route vers Bourg-Saint-Maurice, et nous "attaquons" la montée
vers un col cher au Tour de France depuis quelques années, le Cormet de Roselend.Cormet vient du latin culmen, qui signifie sommet.
Les photos qui suivent montrent un paysage pris d'endroits proches : le changement de perspective révèle ainsi des détails nouveaux (la N° 5 est de Martine).
à suivre...
le Cormet de Roselend par Wikipédia
4 commentaires -
La route qui mène au Col du Petit-Saint-Bernard comporte, vous pouvez vous en douter, pas mal de lacets !
Nous avons croisé ou dépassé beaucoup de cyclistes courageux partis à l'ascension de ce col avec le moral et de bonnes jambes !
Quelques arrêts pour profiter du paysage majestueux et nous atteindrons le col, à 2 188 m.
En haut, c'est relativement désert, il y a peu de bâtiments. : ceux de l'ancienne douane, car le col est à la frontière entre l'Italie et la France, et un peu plus loin, côté France, l'hospice totalement reconstruit après les combats de la 2ème guerre mondiale.
On trouve également une statue de l'abbé Pierre Chanoux près d'une petite chapelle, et une de Saint-Bernard-de-Menthon, sur un haut rocher.Le premier a dirigé l'hospice à la fin du 19ème siècle, alors que le second a fondé le premier établissement aux environs de l'an mil.
La descente s'amorce côté France, avec - il faut le reconnaître - sensiblement le même paysage de roche, de pâtures et de rhododendrons : ce ne sont pas là 2 nations différentes mais une seule et même région.
à suivre...
l'histoire du col par Wikipédia
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